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Avec l’arrêt progressif des réseaux 2G et 3G, les opérateurs vont réutiliser ces fréquences pour renforcer leurs réseaux 4G et 5G. Mais que se passe-t-il pour votre smartphone ? On fait le point.
Source : Unsplash
La fin de la 2G et de la 3G se profile à l’horizon. Mais comment savoir si votre fidèle smartphone sera toujours opérationnel après cette transition ? Voici le guide complet pour vous y retrouver et éviter les mauvaises surprises.
Le calendrier en question
Orange a annoncé la fin de son réseau 2G pour le 31 décembre 2025, suivi par l’arrêt de la 3G le 31 décembre 2028.
Opérateur
Fin de la 2G
Fin de la 3G
Orange
31 décembre 2025
31 décembre 2028
SFR
fin 2026
fin 2028
Bouygues Telecom
fin 2026
fin 2029
Free
(31 décembre 2025)
(31 décembre 2028)
SFR et Bouygues Telecom, quant à eux, prévoient de fermer définitivement leurs réseaux 2G fin 2026. Pour la 3G, SFR a fixé la date d’arrêt à fin 2028, tandis que Bouygues Telecom lui accorde un an de plus, jusqu’à fin 2029. Free, qui utilise le réseau d’Orange en itinérance pour la 2G et la 3G, suivra logiquement le même calendrier qu’Orange pour ces technologies.
Vérifier la compatibilité 4G et 5G de votre téléphone
La première étape, essentielle, est de s’assurer que votre smartphone est compatible avec les réseaux 4G et/ou 5G. Pour ce faire, commencez par consulter les paramètres de votre téléphone. Allez dans « Paramètres« , puis « Réseau mobile« , et enfin « Type de réseau préféré« . Si vous voyez les options 4G ou 5G, c’est déjà un bon signe. Notez que les noms des options peuvent varier en fonction du modèle de votre smartphone.
Source : Frandroid
Un test sur le terrain peut aussi être révélateur. Prenez votre smartphone, désactivez le Wi-Fi et observez l’icône de réseau en haut de votre écran. Si vous voyez « 4G » ou « 5G », votre appareil est prêt pour l’avenir. En cas de doute persistant, n’hésitez pas à contacter le service client de votre opérateur qui pourra vous confirmer la compatibilité de votre appareil.
S’assurer de la prise en charge de la Voix 4G (VoLTE)
La Voix 4G, aussi appelée VoLTE (Voice over LTE), est essentielle pour passer des appels une fois la 2G et la 3G éteintes. Pour vérifier si votre téléphone la supporte, cherchez une option « Voix 4G », « VoLTE » ou « Appels en 4G » dans les paramètres réseau de votre téléphone.
Gardez à l’esprit que certains opérateurs doivent activer cette fonction de leur côté. Un appel au service client peut donc être nécessaire pour s’assurer que tout est bien configuré. Vous pouvez aussi faire un test pratique : activez la 4G, désactivez le Wi-Fi, et passez un appel. Si vous voyez l’icône 4G rester affichée pendant l’appel, cela signifie que la VoLTE fonctionne correctement.
Si votre téléphone ne passe pas ces tests avec succès, ne paniquez pas. Plusieurs options s’offrent à vous. Tout d’abord, vous avez encore le temps de changer de téléphone.
Pour ceux qui souhaitent une alternative économique et écologique, opter pour un téléphone reconditionné peut être une excellente solution pour obtenir un appareil compatible sans se ruiner.
N’oubliez pas non plus de penser à vos autres appareils connectés. Tablettes, montres connectées, caméras connectées ou autres objets utilisant les réseaux mobiles pourraient aussi être affectés par cette transition. Assurez-vous qu’ils sont tous prêts pour le grand saut. C’est le cas de certains matériels de sécurité ou bien de systèmes embarqués dans les voitures.
Pourquoi la 5G est importante
Vous le savez sans doute, mais un rappel ne fait pas de mal, les bandes de fréquences sont des ressources extrêmement précieuses et limitées. Elles constituent le spectre électromagnétique utilisé pour la transmission des données par les réseaux sans fil.
Source : Arcep
Chaque bande de fréquence est assignée à des usages spécifiques, comme la radio, la télévision ou les réseaux mobiles.
Et avec l’arrêt progressif des réseaux 2G et 3G, il devient essentiel de considérer l’achat d’un smartphone compatible 5G, même si l’on n’a pas immédiatement besoin de cette technologie.
En effet, les opérateurs mobiles décommissionnent ces réseaux plus anciens pour libérer des ressources et concentrer leurs efforts sur les technologies plus avancées comme la 4G et la 5G. En choisissant un smartphone compatible 5G, vous vous assurez une connexion stable et pérenne.
Les réseaux 5G utilisent différentes bandes de fréquences, certaines étant déjà employées par les réseaux 2G et 3G.
En recyclant ces bandes, les opérateurs peuvent améliorer la couverture et la capacité du réseau sans nécessiter de nouvelles infrastructures coûteuses. Cela permet également d’optimiser l’utilisation du spectre radio, qui est une ressource précieuse et limitée, comme expliqué plus haut.
Dans ce contexte, acheter un smartphone 5G, même si vous n’avez pas actuellement besoin de cette technologie, vous garantit d’avoir un smartphone capable de tirer parti de ces nouvelles allocations de fréquences, ce qui promet potentiellement une meilleure couverture et de meilleures performances globales.
C’est la fin d’une époque dans le monde des télécoms. Orange s’apprête à débrancher progressivement son réseau 2G.
L’iPhone 2G ne fonctionnera plus
C’est la fin d’une époque dans le monde des télécoms. Orange s’apprête à débrancher progressivement son réseau 2G (utilisé par Free également). Une transition qui ne se fera pas sans heurts, notamment pour les millions d’appareils qui dépendent encore de cette technologie.
Ascenseurs, capteurs, vieux téléphones… la 2G est encore utilisée. Mais il faut faire de la place dans les bandes de fréquences pour accueillir les prochaines générations de réseaux sans fil.
31 décembre 2025
Le plan de l’opérateur historique est désormais clair : tout commencera le 31 décembre 2025 dans neuf départements du sud-ouest de la France. Cette zone pilote comprend notamment l’Ariège et la Haute-Garonne, cela servira de test grandeur nature avant un déploiement national. Un choix stratégique qui permettra d’identifier et de résoudre les éventuels problèmes avant la généralisation du processus.
Ensuite la 3G
L’extinction progressive de la 2G n’est que la première étape d’un plan plus vaste.
Opérateur
Fin de la 2G
Fin de la 3G
Orange
31 décembre 2025
31 décembre 2028
SFR
fin 2026
fin 2028
Bouygues Telecom
fin 2026
fin 2029
Free
(31 décembre 2025)
(31 décembre 2028)
Orange prévoit déjà l’arrêt de la 3G à partir de fin 2028. Les fréquences libérées seront réattribuées aux réseaux 4G et 5G, ce qui permettra d’améliorer la couverture tant en zones urbaines que rurales.
Grâce à de nouvelles informations, nous savons désormais comment fonctionnera la prochaine fonctionnalité d’Android inspirée des indices de mouvement des véhicules d’Apple récemment introduits sur iOS. Google a en effet apporté des améliorations significatives à Android, dont certaines semblent directement s’inspirer des dernières innovations d’Apple. »
Sur l’iPhone, Vehicle Motion Cues vise à réduire le mal des transports pour les utilisateurs voyageant dans des moyens de transport, tels que les voitures ou les trains. Pour ce faire, il affiche des guides visuels sous forme de points animés sur les bords de l’écran. Ces points se déplacent en synchronisation avec le mouvement du véhicule, vous aidant ainsi à mieux vous adapter visuellement.
Au cours des derniers mois, des indices ont montré que Google travaillait sur une fonctionnalité similaire pour Android. Les récentes découvertes de la dernière application Google Play Services par Assemble Debug (via Android Authority) ont fourni des preuves supplémentaires de son développement. Le fabricant a même réussi à activer la fonction, confirmant son nom: Motion Cues.
Comment fonctionne la fonction « Motion Cues » d’Android ?
Lors des tests, il a été découvert que vous pouviez accéder à Motion Cues et l’activer depuis les paramètres d’affichage des appareils Android. Toutefois, l’emplacement précis de cette option peut varier selon la version d’Android utilisée. Contrairement à la version d’Apple, Android propose également une option permettant d’activer automatiquement cette fonctionnalité pendant la conduite.
Lorsqu’elle est activée, plusieurs points gris apparaissent sur les bords de l’écran actif. Ces points sont conçus pour être moins distrayants que les points noirs utilisés dans les repères de mouvement du véhicule d’Apple. Pour plus de praticité, un raccourci est disponible dans le panneau des réglages rapides, vous permettant d’activer ou de désactiver la fonctionnalité en un instant.
Pour l’instant, aucune date de sortie officielle n’a été annoncée pour Motion Cues. La fonctionnalité devrait être activée via une mise à jour côté serveur avec Android 15, mais les détails concernant les modèles compatibles restent incertains. De plus, sa disponibilité sur des smartphones Android d’entrée de gamme et milieu de gamme dépendra probablement des décisions des fabricants.
Le leader français de l’entretien automobile, Norauto, a récemment informé ses clients d’une cyberattaque ayant affecté ses systèmes de sécurité. Bien que les données bancaires et les mots de passe ne semblent pas avoir été touchés, cet incident relance les questionnements sur la vulnérabilité des entreprises face aux cybercriminels et les conséquences pour les consommateurs.
Une cyberattaque ciblée sur les données personnelles
Dans un mail adressé à ses clients le 2 décembre 2024, Norauto a confirmé avoir été victime d’une cyberattaque, décrite comme un « acte de cyber-malveillance ». Selon l’entreprise, l’incident a entraîné la fuite de données personnelles sensibles stockées sur les comptes clients. Bien que les informations financières (comme les coordonnées bancaires et les mots de passe) semblent avoir été protégées, plusieurs types de données sont désormais exposés : nom, prénom, adresse e-mail, adresse postale, numéro de téléphone et même pièce d’identité.
🚨🔴CYBERALERT, 🇫🇷FRANCE🔴 | Norauto victime d’une cyberattaque… L’enseigne a prévenu ses clients d’un accès frauduleux à leurs données ⤵️
Dans un mail envoyé depuis ce matin, le leader de l’entretien et de l’équipement automobile, Norauto informe ses clients que leur compte… pic.twitter.com/yrhviFfKd5
L’attaque survient dans un contexte dans lequel la France est de plus en plus touchée par des cyberincidents. En l’espace de trois mois, une vingtaine de fuites de données ont été recensées à travers le pays, un phénomène qui semble se multiplier à mesure que la cybercriminalité gagne en sophistication. Les entreprises, même les plus établies, ne sont plus à l’abri de telles attaques, ce qui suscite des inquiétudes parmi les consommateurs quant à la sécurité de leurs informations personnelles.
Les informations de 78 000 comptes compromises
Selon les informations du hacker white hat, un cybercriminel aurait déjà mis en vente vers la fin novembre les données de 78 000 clients au prix de 50 €. De plus, l’accès au système de gestion complet de l’enseigne était proposé pour le prix de 200 €. Cela ouvre la porte à de possibles usurpations d’identité.
🚨🔴CYBERALERT, 🇫🇷FRANCE🔴 | 78 000 comptes clients de Norauto étaient déjà en vente pour 50€ la semaine dernière sur le « Amazon de la cybercriminalité »… ⤵️
Un cybercriminel avait déjà mis en vente fin novembre 78 000 comptes clients de l’enseigne Norauto… Il ne vendait… pic.twitter.com/vYieSMjteX
Face à cette recrudescence des cyberattaques, il est essentiel que les consommateurs prennent des mesures pour protéger leurs informations personnelles et limiter les risques. Voici quelques conseils pratiques :
Utiliser des mots de passe uniques : Un mot de passe robuste est la première ligne de défense contre toute tentative d’intrusion. Il est recommandé d’utiliser de longues combinaisons complexes, incluant des lettres majuscules et minuscules, des chiffres et des symboles. Évitez de réutiliser le même mot de passe pour plusieurs sites.
Activer l’authentification à deux facteurs : L’authentification à deux facteurs (2FA) ajoute une couche de sécurité supplémentaire même si le mot de passe devient compromis.
Rester vigilant face aux tentatives d’escroquerie : Le phishing est souvent utilisé pour obtenir des informations personnelles. Soyez particulièrement attentif aux e-mails ou messages suspects demandant des informations sensibles. Vérifiez toujours la provenance des messages et ne cliquez pas sur les liens douteux
Surveiller régulièrement vos comptes bancaires et en ligne : Il est important de surveiller l’activité de vos comptes bancaires et autres comptes en ligne afin de détecter toute transaction ou activité suspecte même si aucun IBAN n’a fuité
Alors que Windows 10 ne sera plus supporté dans moins d’un an, le géant de la bureautique vient d’annoncer élargir les conditions d’accès à Windows 11. Si plus de PC sont maintenant concernés, l’installation peut représenter quelques risques.
C’est une nouvelle qui a fait du bruit : dès octobre 2025, soit dans moins d’un an, Windows 10 ne bénéficiera plus de mises à jour ou de support technique. Une annonce qui signifie donc la fin de la tranquillité pour de nombreux utilisateurs qui, face à ce changement, pourraient voir leurs machines devenir pleinement obsolètes.
Car si tous les PC n’ont pas eu droit à Windows 11 jusqu’alors, c’est avant tout parce que l’entreprise avait restreint sa disponibilité aux appareils équipés d’une puce TPM 2.0. Un choix qui semble donc bloquer le déploiement de la dernière version de l’OS : on ne compte que 35% des machines équipées de la mise à jour, contre 62% sous Windows 10. Alors, pour retourner la tendance, Microsoft vient d’annoncer l’assouplissement de ses règles d’installation.
Microsoft ouvre la porte aux PC anciens
Ainsi, dans une nouvelle documentation, les utilisateurs découvrent qu’il est maintenant possible d’accéder à Windows 11, du moment que le PC bénéficie de composants conçus en 2008, ou après. Sont exclus de la liste, cependant, les ordinateurs sans POPCNT et SSE 4.2.
Pour les autres appareils compatibles, il est donc possible d’accéder à la dernière mise à jour de l’OS pour bénéficier de ses nouveautés, et ce sans être équipé d’une puce TPM 2.0. Mais attention : pour ce faire, il faudra signer une clause de non-responsabilité.
Attention aux risques !
Car oui, en procédant à cette installation sur l’une des machines concernées, vous risquez aussi de vous retrouver face à des problèmes techniques imprévus, que Microsoft ne semble pas vraiment vouloir prendre en charge. Alors, en installant Windows 11 sur une machine sans puce TPM 2.0, sachez que tout problème lié à l’OS est exclu, de fait, de la garantie constructeur, en plus du fait que les mises à jour de sécurité ne sont pas assurées. Bonne nouvelle cependant : il est possible de revenir sous Windows 10 dans les 10 jours après le changement de version.
Mais du côté de Microsoft, on ne fera sans doute pas beaucoup plus d’efforts pour favoriser la mise à jour des nouvelles machines. Car, à compter d’octobre 2025, le support Windows 10 ne s’arrête pas vraiment. En réalité, l’entreprise américaine vous proposera dès l’automne prochain une formule de mise à jour pour Windows 10, facturée 30 dollars par an. Malin.
Ça y est, les clients de la Caisse d’Épargne et de la Banque Populaire peuvent désormais utiliser Google Pay pour leurs paiements sans contact. Cette évolution majeure du groupe BPCE répond à une forte demande de sa clientèle, dont 22 % utilisent un smartphone Android.
Jusqu’à présent, les clients de la Caisse d’Épargne et de la Banque Populaire devaient se contenter d’Apple Pay pour les utilisateurs d’iPhone ou de Samsung Pay pour les propriétaires de Galaxy, mais ils pourront désormais opter pour Google Pay. L’abandon de Paylib avait laissé de nombreux clients Android sans solution de paiement mobile. Même si des solutions existaient, cette situation est désormais révolue.
Le déploiement s’est fait discrètement ces dernières semaines, comme en témoigne la mise à jour des conditions générales d’utilisation des deux établissements. Un revirement notable, quand on se souvient qu’en 2022, la Banque Populaire invoquait encore des « raisons de sécurité » pour justifier son refus d’adopter Google Pay.
Comment activer Google Pay si vous êtes clients Caisse d’Épargne ou Banque Populaire ?
Le groupe BPCE explique aujourd’hui avoir « travaillé activement » avec Google pour garantir la conformité du service à ses standards de sécurité. L’entreprise assure que seules les données strictement nécessaires aux paiements sont collectées, sans partage d’informations bancaires sensibles.
Pour profiter de ce nouveau service, quelques conditions techniques doivent être remplies. Les clients devront disposer d’un smartphone équipé d’Android 9.0 minimum et activer le dispositif Secur’Pass dans leur application bancaire. Ensuite, la procédure est assez simple :
Télécharger Google Wallet depuis le Play Store
Ajouter sa carte bancaire via l’application en cliquant sur « Ajouter à Wallet », puis « Carte de paiement »
Scanner ou saisir les informations de la carte
Valider l’activation via l’application bancaire
Une fois configuré, le paiement sans contact s’effectue en déverrouillant simplement son téléphone et en l’approchant du terminal de paiement. Une notification confirme chaque transaction réussie.
Cette nouvelle compatibilité devrait satisfaire de nombreux clients qui réclamaient depuis longtemps cette fonctionnalité, plaçant enfin le groupe BPCE au même niveau que ses concurrents en matière de solutions de paiement mobile.
Le dernier article souligne les problèmes tests liés à Windows 11 24H2, notamment avec les appareils utilisant le protocole eSCL, affectant ainsi imprimantes et scanners. Les utilisateurs, confrontés à des dysfonctionnements importants, attendent un correctif de la part de Microsoft, qui leur conseille d’éviter la mise à jour jusqu’à résolution.
Analyse de l’éditeur : Windows 11 24H2 démontre de plus en plus que le programme Windows Insider n’apporte rien pour améliorer la sécurité et la fiabilité de Windows. Le nombre de bugs bloquants rencontrés par les clients après la mise à jour vers cette dernière version de l’OS est impressionnant. Pendant ce temps, Microsoft affirme simplement qu’elle travaille sur (encore un autre) correctif, sans date de sortie précise en vue.
Windows 11 24H2 ne fonctionne pas bien avec les SSD WD sans cache, les jeux Ubisoft, les appareils Asus, les capteurs d’empreintes digitales, et bien plus encore. Nous pouvons désormais ajouter les scanners USB et les dispositifs utilisant le protocole de scan eSCL à la liste des problèmes. Microsoft a récemment confirmé le problème à travers sa liste toujours croissante de problèmes connus de Windows 11 24H2.
Microsoft remarque qu’après l’installation de la version 24H2 de Windows 11, les dispositifs USB supportant la technologie eSCL peuvent ne plus être détectables. Le protocole eSCL permet le support des périphériques USB sans avoir besoin de pilotes système spécifiques. C’est généralement le méthode de communication par défaut sous MacOS, Linux, et Windows.
Grâce à eSCL, les scanners en réseau peuvent être utilisés de manière fiable via Ethernet, réseaux Wi-Fi et connexions USB. Ce nouveau problème est causé par un dispositif devenant incapable de passer du mode eSCL au mode USB, empêchant ainsi Windows d’associer le pilote système le plus approprié au dispositif connecté.
L’incompatibilité de Windows 11 24H2 avec la technologie eSCL n’affecte pas seulement les scanners, car les imprimantes, les télécopieurs, les modems et d’autres dispositifs réseau utilisent également ce protocole. Les utilisateurs rencontrent des problèmes liés à eSCL depuis que Microsoft a déployé la mise à jour 24H2 sur tous les ordinateurs Windows adéquats le 1er octobre 2024.
Après la mise à jour, les machines de scan et autres dispositifs compatibles eSCL sont devenues inutilisables dans les environnements d’entreprise, les configurations SOHO et les machines des utilisateurs finaux. Les entreprises ont demandé à Microsoft un correctif rapide ou une solution de contournement, car le problème d’eSCL commence à impacter les activités et à causer des interruptions de service.
Microsoft a déclaré que ses développeurs travaillent sur une solution, mais n’a pas fourni de calendrier pour un correctif. L’entreprise a mis en place un « verrouillage de compatibilité » sur les PC Windows connectés aux dispositifs eSCL pour empêcher la mise à niveau automatique vers 24H2. Elle demande également aux utilisateurs avertis d’éviter d’installer manuellement la nouvelle version jusqu’à ce que le problème soit résolu.
Le Parlement australien a adopté une loi interdisant l’usage des réseaux sociaux aux jeunes enfants, mais certains se questionnent sur l’efficacité et les conséquences d’une telle mesure.
Les réseaux sociaux peuvent représenter un danger pour les plus jeunes. De nombreuses études soulignent régulièrement les problèmes de harcèlement, de désinformation ou encore la prolifération de contenus haineux, sexistes et homophobes. La solution la plus simple serait d’interdire l’accès aux réseaux sociaux aux plus jeunes pour leur éviter d’être exposés à ces propos et images souvent choquantes pour leur âge. Si de nombreux pays ou partis politiques en rêvent depuis longtemps, l’Australie l’a fait.
Une interdiction des réseaux sociaux pour les plus jeunes massivement adoptée par le Parlement australien
Le Sénat australien, soit la Chambre haute du Parlement local, a voté à une large majorité de 34 voix pour et 19 contre, l’adoption d’un texte de loi interdisant l’accès aux réseaux sociaux pour les mineurs de moins de 16 ans.
Cette proposition a été introduite par le Premier ministre travailliste, Anthony Albanese. Ce dernier, dans son texte, pointe du doigt un « lien de cause à effet clair entre l’essor des réseaux sociaux et les dommages causés à la santé mentale des jeunes Australiens ».
Pour le moment, les entreprises concernées par cette disposition n’ont pas été explicitement mentionnées, même si la ministre des communications, Michelle Rowland, a énuméré quelques noms bien connus comme Snapchat, TikTok, X, Instagram, Reddit et Facebook. Seul YouTube échapperait aux Fourches caudines des autorités australiennes en raison de son « intérêt éducatif ».
Les différents réseaux sociaux pris la main dans le sac et autorisant des mineurs à accéder à leurs plateformes sont passibles d’une amende de 50 millions de dollars australiens, soit un peu moins de 31 millions d’euros.
De belles promesses, mais qui soulèvent de nombreux points techniques et sociétaux
Si cette décision politique peut être saluée, elle n’arrive pas sans certaines questions et critiques, et en premier lieu sur la faisabilité technique. Le gouvernement australien n’a pas expliqué comment il allait s’y prendre pour contrôler l’âge de tous les utilisateurs du pays. Les autorités renvoient à un test de vérification de l’âge qui sera mené prochainement. La loi ne sera quant à elle appliquée que dans un an, le temps d’étudier les possibilités techniques et de les mettre en place, en concertation avec les réseaux sociaux. Le Parlement a d’ailleurs interdit l’utilisation de données personnelles à des fins d’identification.
De nombreux chercheurs et politiques s’interrogent également des conséquences d’une interdiction pure et dure. Les adolescents, toujours prêts à braver les interdits, pourraient être tentés de se rendre sur le dark web pour trouver d’autres moyens de communiquer.
D’autres associations, comme Amnesty International, regrettent que les voix des enfants n’aient pas été entendues lors du débat et craignent que l’interdiction des réseaux sociaux accentue l’isolement de certains jeunes.
Pourtant, 77 % des Australiens soutiennent la décision du gouvernement et se déclarent en faveur de l’interdiction aux plus jeunes. En France, les débats sont tout aussi vifs entre partisans d’une fermeture aux plus jeunes, et défenseurs des libertés individuelles. Le gouvernement français essaie depuis plusieurs années de faire passer une vérification d’âge sur les sites pornographiques, sans grand succès. Les plateformes étant hébergées à l’étranger échappent à la juridiction européenne, et si un blocage complet du site est possible, il reste facilement contournable.
Microsoft est en train de déployer une mise à jour permettant d’afficher le contenu de votre smartphone dans l’Explorateur de fichiers de Windows. Voici comment l’activer.
Après plusieurs mois de test auprès des membres de son programme Insider, Microsoft est officiellement en train de déployer une mise à jour permettant d’afficher les fichiers de votre smartphone Android dans l’Explorateur de fichiers de Windows. Le tout sans qu’il soit nécessaire de connecter le moindre câble USB.
Pour y arriver, Microsoft ne s’appuie pas, comme on pourrait le croire, à son application Mobile connecté, mais à son nouveau module système Hôte d’expérience inter-appareils. C’est ce dernier qui permet d’accéder, depuis les Paramètres de Windows 10 ou Windows 11, à un nouveau menu permettant de Gérer les appareils mobiles connectés à votre PC.
Néanmoins, aussi bizarre que cela puisse paraître, si votre smartphone est déjà connecté à votre PC, l’option permettant de l’afficher dans l’Explorateur de fichiers de Windows n’est pas activée par défaut. En partant du principe que votre smartphone Android est déjà connecté à votre PC, notamment via Mobile connecté, vous devriez pouvoir activer cette nouvelle option assez rapidement. Voici comment.
1. Mettez à jour l’Hôte d’expérience inter-appareils
Si ce n’est pas déjà fait, commencez par mettre à jour l’Hôte d’expérience inter-appareils depuis le Microsoft Store. Pour ce faire, cliquez sur Téléchargement en bas à gauche de la fenêtre, puis sur le bouton Obtenir les mises à jour. Si une mise à jour pour l’Hôte d’expérience inter-appareils est proposée, téléchargez-la.
Ouvrez à présent les Paramètres de Windows (Windows + i) et sélectionnez Bluetooth et appareils dans la colonne de gauche. Rendez-vous ensuite dans le menu Appareils mobiles.
En principe, une nouvelle fenêtre Gérer les appareils mobiles devrait s’être ouverte sur votre écran, avec la liste des smartphones connectés à votre PC (pour peu que vous les ayez déjà utilisés précédemment avec Mobile connecté notamment). Activez à présent l’option Afficher l’appareil mobile dans l’explorateur de fichiers. Pour que votre PC puisse accéder au contenu de votre smartphone, vous devrez lui accorder certaines autorisations.
Pour ce faire, cliquez sur le menu Accorder des autorisations. Un pop-up Vérifier VotreSmartphone pour activer l’accès à tous les fichiers devrait s’afficher. Cliquez sur le bouton Continuer.
Déverrouillez à présent votre smartphone et ouvrez le centre de notifications. Vous devriez avoir reçu une notification de l’application Lien avec Windows indiquant qu’elle a besoin de votre autorisation pour gérer les fichiers sur cet appareil.
Appuyez sur Ouvrir, puis dans la fenêtre Accès à tous les fichiers du gestionnaire d’autorisation d’Android qui s’affiche, sélectionnez Lien avec Windows et activez l’option Autoriser l’accès pour gérer tous les fichiers.
4. Accéder aux fichiers de votre smartphone Android dans l’Explorateur de fichiers
Ouvrez enfin une nouvelle fenêtre de l’Explorateur de fichiers de Windows. Votre smartphone Android devrait alors être visible dans le volet de navigation latéral. En sélectionnant votre appareil, vous devriez voir s’afficher dans l’Explorateur de fichiers un répertoire Storage dans lequel vous pourrez accéder à l’ensemble des dossiers et sous-dossiers de votre smartphone.
Vous n’avez désormais plus besoin de connecter votre smartphone Android avec un câble USB pour accéder à ces fichiers et les gérer depuis votre PC.
Dès le 14 octobre 2025, Windows 10 (version 22H2), le système d’exploitation le plus utilisé au monde, entrera officiellement dans sa phase de fin de vie. Face à cette échéance, Microsoft propose, pour la première fois de son histoire, une solution payante permettant aux particuliers de prolonger la durée de vie de leur système.
Une décision qui fait débat
30 dollars (environ 28 euros) par an pour continuer à recevoir des mises à jour de sécurité. Microsoft va faire payer pour la sécurité informatique, ce qui est une aberration pour les utilisateurs qui ne peuvent pas migrer vers Windows 11 en raison de limitations matérielles.
Le programme ESU (Extended Security Updates) n’est pas nouveau en soi, mais c’est la première fois qu’il s’ouvre aux particuliers. Jusqu’ici réservé aux entreprises, ce service permettra aux utilisateurs de continuer à recevoir des correctifs de sécurité essentiels, sans pour autant bénéficier de nouvelles fonctionnalités.
Les zones d’ombre du programme
Plusieurs points restent encore flous dans cette annonce. Microsoft n’a pas clairement indiqué si le tarif de 30 dollars s’appliquera par an pendant les trois années potentielles du programme, ou s’il s’agit d’un forfait unique limité à un an. De plus, les prix en Europe n’ont pas été communiqués.
Le calendrier lui-même reste vague : si la date de fin du support est bien fixée à octobre 2025, Microsoft n’a pas encore précisé quand exactement les utilisateurs pourront s’inscrire au programme ESU.
Il est également important de noter que ce programme ne constitue qu’un sursis temporaire. Au plus tard en octobre 2028, les utilisateurs devront faire face à un choix : soit upgrader leur matériel pour passer à Windows 11 (ou son successeur), soit accepter d’utiliser un système non sécurisé. Pour rappel, Windows 11 a des exigences matérielles plus élevées que son prédécesseur.
Avant de vous lancer dans la migration, il convient donc de vérifier que votre ordinateur est compatible avec Windows 11. Pour cela, vous pouvez utiliser l’outil de vérification de compatibilité proposé par Microsoft sur son site d’assistance. Si votre ordinateur est compatible, vous pourrez alors télécharger et installer Windows 11 en suivant les instructions fournies par Microsoft.
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